On m’a découvert la maladie de Parkinson en 2017. Le tremblement est le souci le plus développé chez moi, certains peuvant avoir des problèmes à la marche, à la déglutition, cognitifs… Dès le début, j’ai décidé que cette maladie ne devait pas me gâcher la vie et j’ai choisi l’humour comme méthode thérapeutique, en plus, bien évidemment, des protocoles chimiques et d’exercices divers mis en place par la neurologue.
Il m’est rapidement paru évident de mêler ma passion pour la photographie à cette maladie neurologique et tout naturellement la série « Parc Hinsonne » s’est mise en place.
Toutes les photographies sont le résultat de l’effet d’un mouvement rapide du boîtier avec des vitesses d’obturations plus ou moins lentes.